Automatisme, complexité et gain de temps

 

Cet article fait suite à l’article Monopole et dégénérescence.
Comme promis,  si le problème se résolvait, je revenais faire amende honorable.

Gmail n’est plus ce mémovore affamé, il reste dans la limite des 200 mégas – ce qui est déjà beaucoup mais n’est plus symptomatique d’une déliquescence irréversible – pour parler simplement lol.

En réalité, c’est une incompatibilité entre Gmail et une extension de Chrome / Firefox / Opera qui se nomme « I don’t care about cookies », un truc qui évite d’avoir à cliquer toutes les cinq minutes sur un avertissement « Gnagnagna , ce site gnagnagna pose des cookies ».

Il est tout à fait certain et véritable que j’ai perdu plus de temps à souffrir de ce problème et à en identifier la cause, que je n’en passerai à cliquer sur les fameux « gnagnagna » en question pendant plusieurs années.  C’est la loi de tous les automatismes : quand ils marchent quel gain, en cas de défaillance quelle perte…

Tant qu’à vouloir des automatismes d’ailleurs, faut-il souhaiter qu’ils soient simples ?

🙂